<p></p>
<div>
<p>Ce soutien de la SACEM ne concerne pas les producteurs de spectacle professionnels, mais plutôt les associations organisant très occasionnellement des concerts, les comités des fêtes, les MJC, les hôtels, bars, restaurants&#8230;</p></div>
<div>&nbsp;</div>
<div>Le montant de l’aide est calculé en fonction des dépenses artistiques et de promotion du projet, dans la limite de 3 000€.</p>
<p> Les demandes sont à déposer avant le 29 novembre 2019.</p></div>
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<div class="wp-block-button"><a href="https://aide-aux-projets.sacem.fr/actualites/appels-a-candidature/communes-en-musique" class="wp-block-button__link wp-element-button" style="border-radius:0px">Pour en savoir plus</a></div>
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SOUTIEN FINANCIER DE LA SACEM POUR LES PETITES COMMUNES

<p><em>Le Syndicat National des Scènes Publiques, qui affirme la nécessité d&#8217;un observatoire du spectacle vivant afin d&#8217;asseoir et d&#8217;évaluer les politiques culturelles sur des données nationales agrégées incontestables et des diagnostics partagés, a commandé une étude nationale sur les scènes publiques permanentes hors institution au Cabinet Bénédicte Dumeige Conseil.</em> </p>
<p>Alors que le Ministère de la Culture sait observer ses propres scènes labellisées, le réseau des « autres » scènes est souvent méconnu. <br /><strong>Cette étude inédite, présentée lors des Biennales internationales du Spectacle (BIS) de Nantes les 20 et 21 janvier, confirme et infirme certaines idées communément partagées en s&#8217;appuyant sur les réponses de 104 scènes.</strong></p>
<p>&gt; Les résultats de cette enquête (mais également ceux d&#8217;une autre enquête régionale co-organisée avec Arcadi pour l&#8217;Ile-de-France uniquement), projetés à 2 000 scènes recensées (hors institution), confirment le poids considérable de ce réseau puisque ce dernier représente autour de <strong>25 millions de spectateurs chaque année</strong>, <strong>125 000 représentations de spectacle</strong> et <strong>20 000 emplois permanents</strong>.<br />&gt; L&#8217;enquête révèle par ailleurs que ces scènes publiques permanentes ont largement dépassé leur simple rôle de diffusion. Elles ont une <strong>place prépondérante dans la création et l&#8217;aide à l&#8217;émergence</strong> en osant davantage une prise de risque. Ainsi, Joël Pommerat a par exemple été accompagné à ses débuts par le Théâtre Brétigny, scène conventionnée d&#8217;Ile de France. Ces scènes sont également <strong>très investies dans l&#8217;action culturelle</strong> puisque 89% d&#8217;entre elles mènent des activités dans ce domaine. Projetées à l&#8217;ensemble des scènes permanentes hors institution ces actions touchent <strong>plus de 2 millions de personnes</strong> chaque année.<br />&gt; L&#8217;étude infirme enfin l&#8217;idée communément partagée que ces structures que l&#8217;on appelle couramment “Théâtres” programment très majoritairement du théâtre. En effet, la <strong>pluridisciplinarité prédomine</strong> dans ces salles, la musique faisant notamment jeu égal avec le théâtre (30% de la programmation).</p>
<p><strong>Dans un contexte d&#8217;incertitudes liées aux nouveaux territoires, l&#8217;étude révèle d&#8217;une part le caractère incontournable du réseau de ces scènes permanentes ainsi que leur maturité dans l&#8217;élaboration de projets culturels et artistiques, et d&#8217;autre part la nécessité d&#8217;un véritable observatoire du spectacle vivant.</p>
<p><a title="SNSP // Enquête sur les scènes publiques permanentes" href="images/actualite/General/2016/janv16/Etude_nationale_finale.pdf" target="_blank" rel="noopener">&gt;&gt; consulter l&#8217;étude</a><br /></strong></p>
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<div class="wp-block-button"><a href="http://www.snsp.fr/Enquete-sur-les-scenes-publiques" class="wp-block-button__link wp-element-button" style="border-radius:0px">Pour en savoir plus</a></div>
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ÉTUDE NATIONALE INÉDITE SUR LES SCÈNES PUBLIQUES PERMANENTES HORS INSTITUTION

<p>Dans le secteur culturel, le terme « médiation culturelle » désigne, avec une relative plasticité, des activités extrêmement variées afférentes aux différents projets de démocratisation de la culture, de développement des publics ou d’approfondissement de l’expérience des objets culturels et artistiques. Le secteur de la « médiation culturelle » tend ainsi à recouvrir (en partie, et non sans poser question) des activités dites d’« action culturelle », d’« animation socio-culturelle », etc. <br />Ces objets, qui ont été largement étudiés par les sociologues, le sont aussi par d’autres disciplines des sciences humaines et sociales (histoire de l’art, histoire culturelle, économie et droit de la culture, études théâtrales, muséologie, musicologie).<br />À la croisée des champs disciplinaires et des disciplines artistiques ou scientifiques, la médiation culturelle compte aujourd’hui un nombre croissant de formations universitaires et professionnelles qui lui sont dédiées, en France et à l’étranger. <br />Faire le point de l’état des recherches, confronter les analyses et les démarches, tels sont les objectifs de ces journées. <br /><a href="http://www.culturecommunication.gouv.fr/content/download/78620/596318/version/1/file/programme-mondesdelamediationculturelle2013.pdf&gt;" target="_blank" rel="noopener"><br />Télécharger le programme</a> <a href="http://www.culturecommunication.gouv.fr/content/download/78620/596318/version/1/file/programme-mondesdelamediationculturelle2013.pdf&gt;"></a></p>
<p>L&#8217;entrée est libre sur <a href="mailto:mondes-mediation-culturelle@univ-paris3.fr">simple inscription</a>&nbsp;<a href="mailto:mondes-mediation-culturelle@univ-paris3.fr."></a></p>


Les mondes de la médiation culturelle

<p><em>Une économie culturelle solidaire en marche.<br /></em></p>
<p>Dans un contexte marqué par des restrictions&nbsp; budgétaires, reconnaître la culture&nbsp; comme&nbsp; un investissement et lui donner des moyens, c&#8217;est réaliser une révolution conceptuelle nécessaire, c&#8217;est miser sur l’intégration du long terme dans les budgets. C&#8217;est reconnaître qu&#8217;il s&#8217;agit d’un ferment de lien social, d&#8217;une attention aux droits culturels et à la dignité des personnes, d&#8217;un ciment indispensable pour des politiques territoriales qui convergent autour du projet de territoire, processus qui donne du sens et de la cohérence à toutes les politiques de proximité.&nbsp; &nbsp;</p>
<p>De la même manière, il faut aussi se souvenir que les politiques publiques sont là pour soutenir la&nbsp; prise de risque et oser le droit à l&#8217;erreur et à l&#8217;expérimentation.&nbsp; &nbsp;<br />Enfin, la&nbsp; co-construction est le dernier aspect essentiel qui constitue lui aussi une&nbsp; petite révolution dans l&#8217;approche des politiques publiques. &nbsp;</p>
<p>Tous ces enjeux ne sont pas propres au secteur culturel, mais une vraie politique publique&nbsp; culturelle pourrait être fer de lance de ces nouvelles attentes dans l&#8217;approche des politiques publiques, au coeur desquelles transversalité et co-construction seront des&nbsp; gages&nbsp; de&nbsp; crédibilité&nbsp; et de regain de confiance entre acteurs et politiques. <br />Ce sont tous ces enjeux que nous mettons en avant et défendons au sein du RTES et de l’UFISC.</p>
<p>&gt;&gt; <a title="ESS &amp; Culture - Dossier thématique de la Lettre du Rtes" href="http://rtes.fr/IMG/pdf/Lettre26_RTES_Culture.pdf" target="_blank" rel="noopener"><strong>télécharger la Lettre n°26 du rtes</strong></a></p>
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