<p>Ce programme se décline en 2 axes :</p>
<ol>
<li>&#8211; <strong>Médiation numérique</strong> : soutien à des projets innovants de médiation et/ou d’éducation artistique et culturelle ;</li>
<li>&#8211; <strong>Services </strong><strong>et usages i</strong><strong>nnovants</strong> pour les opérateurs culturels : soutien à des projets de valorisation et diffusion de contenus culturels, de développement des publics, de partage et de diffusion de connaissances entre opérateurs, de technologies innovantes contribuant à la transformation numérique de l’opérateur.</li>
</ol>
<div><strong><br />
Les porteurs de projets </strong>doivent avoir leur siège en ex-Aquitaine ou porter un projet avec un fort lien culturel avec l’ex-Aquitaine et/ou en association avec des acteurs culturels de l’ex-Aquitaine (associatif, institutionnel). Les projets doivent être destinés prioritairement aux publics de l’ex-Aquitaine.</p>
</div>
<div>Les dossiers sont envoyés à la DRAC Nouvelle-Aquitaine avant le <strong>31 </strong><strong>juillet.</strong></div>
<div class="wp-block-buttons">
<div class="wp-block-button"><a class="wp-block-button__link wp-element-button" style="border-radius: 0px;" href="http://www.culture.gouv.fr/Regions/Drac-Nouvelle-Aquitaine/Democratisation-Action-territoriale/Numerique/Aquitaine-Cultures-connectees-Appel-a-projets-2019-Date-limite-31-juillet-2019">Pour en savoir plus</a></div>
</div>


APPEL À PROJETS NUMÉRIQUE ET NOUVEAUX USAGES

<p>Jusqu’à présent, <strong>le crowdfunding</strong> ne disposait pas de son propre cadre légal, ce qui créait des difficultés pour les plates-formes. En effet, selon le mode de financement utilisé, ces dernières pouvaient relever de plusieurs régimes réglementaires différents. Une situation complexe qu’une récente ordonnance, dont l’objet est d’encadrer le financement participatif, vient simplifier en créant notamment deux nouveaux statuts.</p>
<p><em>Source: Cabinet Laurent Rivault Audit &#8211; Conseil</em></p>
<div class="wp-block-buttons">
<div class="wp-block-button"><a href="http://www.rivault-auditconseil.com/_infos/_jazz/actu.asp?article=k4_4349956&#038;login=1" class="wp-block-button__link wp-element-button" style="border-radius:0px">Pour en savoir plus</a></div>
</p></div>


Le crowdfunding dispose enfin de sa réglementation !

<p><em>En dépit d&#8217;un poids financier limité, l&#8217;action culturelle des régions joue un rôle important dans certains domaines tels que le spectacle vivant et les industries culturelles et sert, plus globalement, le développement du territoire.</p>
<p></em><strong>Les régions dépensent 730 millions, l&#8217;Etat en région 3,3 milliards &nbsp;</strong><br />En 2013, les régions ont dépensé pour leurs politiques culturelles 730,4 millions d&#8217;euros, estime l&#8217;Igac qui se fonde sur les budgets primitifs 2013 amputés de 12% &#8211; ce taux correspondant en 2012 à la part de non-exécution des budgets initialement prévus. Bien que cette dépense ne représente que 9% de l&#8217;effort culturel de l&#8217;ensemble des collectivités (7,6 milliards d&#8217;euros), les régions sont &#8220;en mesure&#8221;, selon la FNCC, &#8220;de faire des choix, car elles sont politiquement dégagées d’obligation (excepté l’Inventaire du patrimoine) et, de surcroît, moins paralysées par les frais de fonctionnement que, par exemple, les communes, lesquelles gèrent un très grand nombre d’équipements&#8221;. <br />La dépense régionale n&#8217;en demeure pas moins relativement modeste, également au regard des 3,3 milliards d&#8217;euros que l&#8217;Etat consacre à la culture en région, dont 2,2 milliards à la seule région Ile-de-France. &#8220;Un poids considérable&#8221;, considère l&#8217;Igac qui appelle à un rééquilibrage dans le cadre de l&#8217;application de la loi Maptam du 27 janvier 2014. Pour éviter que le ministère de la Culture &#8220;ne devienne le ministère des franciliens, voire des parisiens&#8221;, &#8220;il apparaît essentiel que le ministère veille à conserver les leviers nécessaires à une politique nationale en capacité de se déployer sur l’ensemble du territoire&#8221;.</p>
<p><strong>Le spectacle vivant, premier domaine d&#8217;intervention &nbsp;</strong><br />Outre la compilation de données par région, l&#8217;intérêt du travail de l&#8217;Igac réside dans la mise en perspective entre les priorités données par les régions en matière culturelle et celles fixées par l&#8217;Etat. Bénéficiant de près de 267 millions d&#8217;euros, soit 37% de leur enveloppe culturelle globale, le spectacle vivant est le premier domaine d&#8217;intervention des régions. Alors que le montant attribué par les directions régionales des affaires culturelles (Drac) au spectacle vivant est à peu près équivalent (296 milliards), l&#8217;étude considère qu&#8217;il s&#8217;agit d&#8217;un &#8220;domaine partagé&#8221;, avec des &#8220;stratégies différenciées&#8221;. D&#8217;un côté, les régions &#8220;réservent plus de la moitié de leurs dépenses pour accompagner les équipes artistiques, assurer une desserte fine de leurs territoires ou soutenir certaines opérations attirant un large public, comme les festivals par exemple&#8221; ; les Drac, de leur côté, consacrent les deux tiers de ce budget au soutien des réseaux labellisés du spectacle vivant.</p>
<p><strong>Clarifier, mais pas au détriment de l&#8217;Etat</strong><br />De façon plus globale, l&#8217;Igac réaffirme la nécessité de &#8220;fonctions régaliennes de l&#8217;Etat&#8221; dans le domaine des patrimoines et appelle à préserver un certain équilibre en ce qui concerne la création, &#8220;un secteur fragile&#8221;. &#8220;Si des mesures de clarification apparaissent nécessaires, notamment au regard des responsabilités des différents niveaux de collectivités territoriales et de l’émergence des grandes métropoles, les contingences propres au domaine de la création et l’importance pour le ministère de disposer des leviers suffisants à l’exercice de ses missions au plan national devraient être prises en compte dans les perspectives d’évolution des réseaux labellisés dédiés à la création et à sa diffusion.&#8221;<br /><em>Extraits de l&#8217;article de Caroline Megglé sur Localtis.info</em></p>
<p>&gt;&gt; <a title="Télécharger le rapport de l'IGAC " href="http://culturecommunication.gouv.fr/Ressources/Rapports/Analyse-des-interventions-financieres-et-des-politiques-culturelles-en-region-Phase-2" target="_blank" rel="noopener"><strong>télécharger le rapport de l&#8217;IGAC</strong></a><br />Ce rapport a fait l&#8217;objet d&#8217;une note de commentaires diffusée par la Fédération nationale des collectivités territoriales pour la culture (FNCC).<br />&gt;&gt; <a title="Les priorités culturelles des conseils régionaux // Commentaires d'une étude de l'IGAC // télécharger le PDF" href="http://www.fncc.fr/IMG/pdf/Priorites_des_Regions.pdf" target="_blank" rel="noopener"><strong>Commentaires du rapport de l&#8217;IGAC par la FNCC</strong></a></p>
<p><em><br />Source : Localtis.info<br /></em></p>
<div class="wp-block-buttons">
<div class="wp-block-button"><a href="http://www.mairieconseils.net/cs/ContentServer?pagename=Localtis/LOCActu/ArticleActualite&#038;cid=1250267812587" class="wp-block-button__link wp-element-button" style="border-radius:0px">Pour en savoir plus</a></div>
</p></div>


LES PRIORITÉS CULTURELLES DES CONSEILS RÉGIONAUX

</p>
<p>L&#8217;économie sociale et solidaire est présente dans une grande majorité des secteurs d&#8217;activités en Nouvelle-Aquitaine, mais pas avec la même intensité. Les 5 secteurs d&#8217;activités les plus employeurs de l&#8217;ESS, qui représentent ensemble plus de 80% des salariés de l&#8217;ESS sont :</p>
<ul>
<li>l&#8217;action sociale</li>
<li>les activités financières et d&#8217;assurance</li>
<li>l&#8217;enseignement</li>
<li>le soutien aux entreprises</li>
<li>la santé humaine</li>
</ul>
<p>Les récentes études des Observatoires de l&#8217;ESS ont permis de mettre en lumière un vieillissement important des salariés de l&#8217;ESS. Cette édition 2017 du panorama de l&#8217;ESS est l&#8217;occasion de lancer des pistes de réflexion sur ce sujet incontournable pour le futur de l&#8217;ESS sur le territoire en terme de développement de l&#8217;emploi et des besoins en compétence des acteurs. <br />Avec plus de 64000 salariés de plus de 50 ans, c&#8217;est plus de 30% des effectifs de l&#8217;ESS en Nouvelle-Aquitaine qui devraient cesser leur activité d&#8217;ici 2025.<br />L&#8217;ESS emploie 12,5% des actifs de plus de 50 ans de la région.<br /><a title="Panorama 2017 de l'ESS en Nouvelle-Aquitaine" href="images/actualite/General/2017/mars-avril17/Panorama_ESS-NA-20171.pdf" target="_blank" rel="noopener"><strong>&gt;&gt; consulter le Panorama de l&#8217;ESS en Nouvelle-Aquitaine, édition 2017</p>
<p></strong></a></p>
<div class="wp-block-buttons">
<div class="wp-block-button"><a href="http://www.cres-poitoucharentes.fr/observatoire/les-etudes-et-publications/752-panorama-de-l-ess-en-nouvelle-aquitaine-2017" class="wp-block-button__link wp-element-button" style="border-radius:0px">Pour en savoir plus</a></div>
</p></div>
