Sarah Le Blé


<p>Vous travaillez pour un cinéma, un musée, un théâtre, une librairie ? Vous vous interrogez sur la mise en place du pass Culture dans votre établissement ? Retrouver le replay du webinaire pass culture sur&nbsp;<a href="http://www.la-nouvelleaquitaine.fr/webinaires">la-nouvelleaquitaine.fr/webinaires</a>&nbsp;organisé par L’A. Agence culturelle Nouvelle-Aquitaine, la DRAC Nouvelle Aquitaine et la SAS pass culture. Ce webinaire vous apportera des informations concrètes et utiles pour répondre aux questions que vous vous posez.<br>Le pass Culture, politique publique portée par le Ministère de la Culture, en expérimentation depuis février 2019 dans 14&nbsp;départements, a été généralisée à l&#8217;ensemble du territoire national et notamment à la région Nouvelle-Aquitaine, le&nbsp;21&nbsp;juin dernier. Ce dispositif, qui a pour objectif de renforcer et diversifier les pratiques culturelles des jeunes, leur permet d’avoir accès, l’année de leur majorité, à&nbsp;une&nbsp;application sur laquelle ils disposent de 300€ pendant 24 mois pour découvrir et réserver selon leurs envies les propositions culturelles de proximité et offres numériques (livres, concerts, théâtres, musées, cours de musique, abonnements numériques, etc.). Pour les acteurs culturels, c&#8217;est la possibilité de soutenir la reprise de leurs activités en promouvant en toute autonomie des expériences culturelles et des pratiques artistiques gratuites ou payantes. En Nouvelle-Aquitaine 26&nbsp;000&nbsp;jeunes se sont déjà inscrits dans le dispositif et plus de 400&nbsp;acteurs&nbsp;culturels locaux. L’application permet également aux utilisateurs de tout âge de trouver quelle est l’offre culturelle de proximité grâce à&nbsp;la géolocalisation.<br><strong>Plus d&#8217;informations sur&nbsp;<a href="https://pass.culture.fr/" target="_blank" rel="noreferrer noopener">pass.culture.fr</a></strong></p>



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Le Pass culture : une application culturelle pour permettre à tous les jeunes de 18 ans de construire leur parcours culturel


<p>Après dix ans passés à la direction de l’UPCP Métive, Josette&nbsp;Renaud laisse la place à une co-direction de trois personnes. Marina Lacal prend en charge l’administration générale et les ressources humaines<sup><a href="http://www.la-nouvelleaquitaine.fr/laffut-2021-upcp-metive-un-trio-a-la-direction#note1">1</a></sup>, Stéphanie Coulais s’occupe du Centre d’études et de recherche et de documentation sur l’oralité (Cerdo), et Romain Chéré assure le volet création, diffusion et transmission.<br>« En plus d’être un centre de danses et de musiques traditionnelles, ainsi qu’un lieu d’études de recherche et de documentation, l’UPCP Métive est aussi une union d’associations sur un territoire élargi avec le redécoupage administratif », présente Stéphanie Coulais. « L’idée de la direction collégiale s’est imposée avec la volonté de se répartir les missions de direction de manière horizontale, permettant davantage de concertation. »</p>



<h3 class="wp-block-heading">Renforcer la pluridisciplinarité</h3>



<p>Avec ses nombreux domaines d’intervention, l’UPCP Métive s’avère en effet une structure lourde à porter, aussi la direction partagée permet-elle d’approfondir chaque secteur d’activités. « Cette nouvelle direction ne marque aucune rupture ni de changement drastique : les orientations définies par le bureau associatif restent les mêmes, il s’agit juste d’une restructuration », complète Romain&nbsp;Chéré. « Quand d’autres centres de musique et danses traditionnelles en région peuvent développer une spécialisation, nous avons choisi de rester très ouverts et multifacettes. Cette co-direction va ainsi permettre à chacun de se consacrer à sa spécialité. »<br>Ainsi Stéphanie Coulais, qui travaillait déjà à l’UPCP Métive comme coordinatrice du Cerdo, va prendre en charge spécifiquement le centre de ressources et les activités qui gravitent autour : « La mission de sauvegarde pour transmettre et donc pérenniser la mémoire orale est constitutive de l’UPCP Métive : nous avons travaillé à la description d’un très grand nombre d’enregistrements. Cette mémoire orale est constituée à 70% de répertoires (chants, musiques, contes…) et 30% de témoignages concernant le savoir populaire de manière générale (observation de l’environnement, coutumes, croyances…). Nous couvrons ainsi un champ très vaste de domaines et touchons donc un public très large également, des formateurs aux scolaires en passant par les institutions. »<br>Marina Lacal, arrivée en janvier 2021, prend en charge l’administration générale, de façon transversale sur l’ensemble des activités, et s’occupe également des ressources humaines, notamment des 14&nbsp;salarié·e·s que compte l’association.</p>



<h3 class="wp-block-heading">Liberté et confort</h3>



<p>Pour Romain Chéré, qui était jusqu’ici conseiller artistique auprès de l’UPCP Métive et qui prend désormais en charge la création, la diffusion et la transmission, cette co-direction va offrir plus de liberté et de confort à la structure : « Nous organisons une quinzaine de résidences de recherche, enregistrement ou création chaque année, dans des esthétiques très différentes (musique traditionnelle, conte ou danse). »<br>Avec un réseau de plus en plus étoffé du fait de la nouvelle territorialité : « La saison culturelle se déroule sur Parthenay, bien sûr, mais aussi sur toute la&nbsp;Nouvelle-Aquitaine. Nous travaillons le plus souvent en coréalisation, avec des partenaires très différents, puisqu’il s’agit aussi bien de scènes de musiques actuelles (Diff’Art, le Camji), de scènes nationales (le TAP à Poitiers), des associations plus modestes, notamment issues du réseau de l’UPCP Métive… L’idée est d’être ouvert à toute sorte de proposition et de ne surtout pas se cloisonner à une pratique ou un répertoire. »<br>Pour l’heure, l’équipe de l’UPCP&nbsp;Métive se réjouit de retrouver le public pour la&nbsp;34<sup>e</sup>&nbsp;édition de son festival De&nbsp;Bouche&nbsp;à&nbsp;Oreille, du 28&nbsp;au</p>



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<p><strong>Crédits photos :</strong>&nbsp;UPCP Métive, Marina Lacal, Romain Chéré et Stéphanie Coulais, photo Doumé&nbsp;<a href="https://www.metive.org/" target="_blank" rel="noreferrer noopener">metive.org</a></p>



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UPCP Métive &#8211; un trio à la direction


<p><strong>L&#8217;Académie de l’Union, École Supérieure Professionnelle de Théâtre du Limousin,</strong>&nbsp;accueille des promotions (appelées séquences) de 16&nbsp;étudiants sur trois ans, dans un cadre bucolique assez exceptionnel, à Saint-Priest-Taurion (à 12&nbsp;km de Limoges). Dans le contexte de crise sanitaire, le directeur pédagogique, Paul Golub, estime que l’école a eu « beaucoup de chance » : « Nous avons pu reprendre la formation en septembre dernier. Certes, nous avons dû annuler des stages, des résidences et même un voyage en Russie, mais globalement nous ne nous sommes jamais vraiment arrêtés. »<br>Pendant le confinement proprement dit, les élèves ont travaillé d’autres formes d’expression, telles que la vidéo ou l’écriture, pour aboutir à des projets seul en scène qui ont même pu être joués récemment. « Bien sûr, le travail de jeu a moins été mis en valeur qu’il n’aurait dû l’être, car c’est forcément plus compliqué à distance, néanmoins nous avons fait le pari de mettre les étudiants face à de&nbsp;la création personnelle, notamment à&nbsp;travers l’écrit&nbsp;; ils ont ainsi pu se révéler autrement. »</p>



<h3 class="wp-block-heading">Stages raccourcis</h3>



<p>Les rencontres avec des créateurs en activité ont cependant cruellement manqué, et avec elles, la confrontation avec des regards et des partis pris artistiques. D’autant que « ces rencontres peuvent évidemment déboucher sur une insertion professionnelle », souligne Paul&nbsp;Golub.<br>Même constat du côté du&nbsp;<strong>master Ingénierie de projets culturels et interculturels de l’université Montaigne de Bordeaux</strong>, où l’enseignement privilégie largement les stages et l’alternance, y compris hors de France du fait du pourcentage assez élevé d’étudiants étrangers (autour de 10%). Les périodes de confinement ont obligé la plupart des étudiants à décaler ou raccourcir leur stage, ce qui a drastiquement réduit les relations professionnelles&nbsp;; mais l’université a pris le parti de valider tous les stages. « L’année scolaire s’est déroulée en mode dégradé, encore plus cette année, mais tous les modules d&#8217;application ont pu se réaliser », souligne François&nbsp;Pouthier, responsable du master.<br>L’année universitaire a pu être menée quasi à terme en 2019-2020 puisqu’elle se termine classiquement début avril en Master&nbsp;1 et en janvier pour les Master&nbsp;2. Cette année, les étudiants ont « perdu » en plus les mois de novembre et décembre : « Ça n’a pas été simple de reprendre en janvier : certains étudiants n’avaient pas pu garder leur logement, d’autres étaient sur d’autres projets… Leur moral était encore plus impacté car il y avait un sentiment d’accumulation. Néanmoins, cela a fait du bien à tous de se&nbsp;retrouver. Puis ils ont tous décroché facilement un stage par la suite. Les anciens des promos précédentes ont pleinement joué le jeu et ont fait preuve d’une grande solidarité. »</p>



<h3 class="wp-block-heading">Choix confrontés</h3>



<p>Pourtant, la crise a aussi permis de renforcer les choix, voire même a exacerbé les personnalités, selon Pier&nbsp;Lamandé : « Il&nbsp;existe déjà une part de risque à se projeter dans le monde artistique », souligne le comédien intervenant au&nbsp;<strong>master d’assistant à la mise en scène de Poitiers</strong>. « Le contexte incertain a pu déstabiliser les uns qui avançaient déjà prudemment mais il a aussi décuplé la conviction des autres de travailler dans le&nbsp;domaine artistique. »<br>Le travail à distance a par ailleurs généré de nouvelles approches artistiques, comme le théâtre numérique, qui a permis de garder le lien avec la création, grâce à l’offre disponible mais aussi dans le travail de création : « Il a fallu reconnecter les étudiants avec l’idée de public, retrouver la sensation d’adrénaline&nbsp;; nous avons donc travaillé sur une forme chimérique du théâtre, croisant l’idée d’écriture cinématographique avec la dimension de présent propre au théâtre, le tout sur Internet. »<br>Paul Golub note de son côté un besoin encore plus marqué chez les étudiants de jouer collectif ou de s’emparer de leur destin: « Le métier de comédien s’avère périlleux et difficile, et beaucoup ressentent la volonté de créer en plus de celle d’interpréter. Créer sa compagnie est une façon de s’armer et aussi de générer du travail. Face à une situation remplie d’incertitudes, les jeunes se prennent en main. Avec détermination. »</p>



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<h2 class="wp-block-heading">Focus sur 3 formations artistiques ou culturelles régionales</h2>



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<li>L’Académie de l’Union fait partie des 12 écoles supérieures d&#8217;Art Dramatique habilitées par le Ministère de la Culture à délivrer le DNSPC (Diplôme National Supérieur Professionnel de Comédien). La séquence 10 (2019-2022) rassemble 8 filles et 8 garçons, qui ont pris cette année la présidence de la (bien nommée) association Affût, regroupant les élèves d’écoles supérieures de théâtre francophone.</li>



<li>Le master de Poitiers, créé il y a 15 ans autour de la mise en scène et la dramaturgie, s’est recentré depuis 6 ans sur l’assistanat à la mise en scène, « un métier de plus en plus nécessaire à la création artistique et qui se devait d’être valorisé », souligne Pier Lamandé, metteur en scène et maître de conférence, qui précise que le master est une façon d’aborder la vie professionnelle sur le principe de la formation continue.</li>



<li>Le master Ingénierie de Projets Culturels et Interculturels de l’Université Bordeaux Montaigne a été créé il y a 11 ans. Il forme 27 étudiant.e.s en Master 1, 32 en Master 2. Depuis l’origine, il est ouvert à la formation continue et depuis 2016, reconnu comme filière d’apprentissage dans le cadre du CFA Bordeaux Montaigne.</li>
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<p><strong>Crédits photos :</strong>&nbsp;photo L&#8217;Académie de l&#8217;Union&nbsp;<a href="http://www.academietheatrelimoges.com/fr" target="_blank" rel="noreferrer noopener">academietheatrelimoges.com</a></p>


S&#8217;insérer dans le monde professionnel en temps de COVID-19


<p>Le projet culturel de la Ferme de Villefavard en Limousin, installée entre la Souterraine et Bellac, existe depuis 2002. Quant au bâtiment qui l’accueille, une ferme-modèle d’avant-garde, il a été bâti au début du XX<sup>e</sup>&nbsp;siècle par Édouard&nbsp;et Sophie&nbsp;Maury. Presque cent ans plus tard, des descendants directs, Jérôme&nbsp;Kaltenbach et&nbsp;Gilles Ebersolt, respectivement chef d’orchestre et architecte, décident d’une réhabilitation exceptionnelle, tournée vers la musique. La grange est transformée en salle de concert de 300&nbsp;places, à l’acoustique soignée. Cette rénovation marque le début de l’aventure artistique et culturelle de la ferme, qui a vu se succéder d’innombrables résidences de musicien·ne·s classiques ou contemporain·e·s, des enregistrements, des concerts, des visites. Le tout dans un lieu enchanteur au bâti conséquent : les étables qui servent de lieu d’exposition, des maisons-dépendances qui servent d’hébergement, une cour centrale avec fontaine, et tout autour, des forêts et étangs. Ici tout porte à entremêler histoire, patrimoine, création, et rencontres conviviales. Soit les ingrédients indispensables pour devenir Centre culturel de rencontre, ce label national du ministère de la Culture qui réunit entre autres, la Chartreuse de Villeneuve les Avignon, la Corderie&nbsp;Royale de Rochefort ou la Maison Maria&nbsp;Casarès en Charente.</p>



<p>Le 25 novembre dernier, lors d’une grande veillée pluridisciplinaire et festive, le public de la Ferme est venu fêter cet événement de taille : devenir le 20<sup>e</sup>&nbsp;Centre culturel de rencontre en France. La soirée était comme un condensé du nouveau projet porté par son directeur Sébastien Mahieuxe arrivé en 2019 sur ces terres du Nord Limousin. « Ruralité, création artistique, imaginaire, en sont les trois piliers », précise-t-il, ou comment « réhabiliter ces imaginaires du monde rural et faire émerger de nouvelles poétiques du territoire ». Avec cette labellisation, le lien avec les habitant·e·s devrait être un peu plus approfondi, en relation avec les artistes venu·e·s du monde entier. Ainsi, l’Ensemble belge flamand Hyoït, accueilli cet hiver, va travailler autour des&nbsp;<em>work songs</em>&nbsp;et engager, avec les habitant·e·s de la région, une collecte de&nbsp;chants traditionnels de travail, pour un projet musical contemporain.</p>



<p>L’avenir sera donc fait de tricotage artistique entre le territoire et les artistes –&nbsp;invité·e·s à la ferme pour des sessions d’une ou deux semaines&nbsp;–, tout en préservant la convivialité et la qualité de l’accueil, qui faisaient déjà la réputation du lieu. En&nbsp;2022, 45&nbsp;concerts y ont été organisés, 74&nbsp;résident·e·s ont été accueilli·e·s, soit une dizaine d’équipes, sans compter les 15&nbsp;projets non-accompagnés, c’est-à-dire en location commerciale, venus profiter des lieux pour enregistrer ou répéter. Deux festivals de taille s’y tiennent au printemps et l’été, des rencontres plus sociétales réunissent des personnalités de tous bords, le Chœur amateur du Haut Limousin y répète et travaille, et des actions culturelles irriguent le territoire. Le prochain gros rendez-vous public sera le Festival Chambre de Printemps, du 1<sup>er</sup>&nbsp;avril au 5&nbsp;mai : une série de concerts de musique de chambre mais aussi de visites découvertes du patrimoine, et des balades nature. Toujours à la croisée des genres.</p>



<p><strong>La Ferme de Villefavard en Limousin</strong><br>2 impasse de l’église et de la cure 87190 Villefavard<br>05 55 76 54 72 –&nbsp;<a href="mailto:info@fermedevillefavard.com">info@fermedevillefavard.com</a><br><a href="https://www.fermedevillefavard.com/" target="_blank" rel="noreferrer noopener">fermedevillefavard.com</a></p>



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<h3 class="wp-block-heading">L’Affût : Pourquoi avoir postulé à ce label national Rencontre et Culture ?</h3>



<p><strong>Sébastien Mahieuxe :</strong>&nbsp;Nous répondions à tous les critères ! Nous sommes un lieu de patrimoine protégé au titre des monuments historiques, un lieu de résidence artistique. Nous créons des événements pour le public, menons des actions culturelles, inscrivons notre action dans un développement de territoire. Et, comme la plupart des Centres existants, nous sommes situés en territoire rural. Et ce label français a aussi l’avantage d’être un réseau international, qui nous ouvre sur d’autres lieux en Europe et dans le monde entier.</p>



<h3 class="wp-block-heading">L’Affût : Qu’est-ce que ce label va changer ?</h3>



<p>Le projet culturel de Villefavard existe depuis vingt ans. Ce label va donner un nouveau souffle à travers un cadre structurant, exigeant, qui va nous obliger à aller plus loin encore dans l’ancrage local, de travailler plus en prise avec les acteurs du territoire, de faire en sorte que les artistes travaillent moins en vase clos, plus en lien avec les habitants avec des projets artistiques.</p>



<h3 class="wp-block-heading">L’Affût : Cela a-t-il aussi des répercussions budgétaires, RH ?</h3>



<p>Ce label entraine une augmentation des lignes de financement étatique, qui nous soutenait déjà à travers la DRAC Nouvelle-Aquitaine. Mais nous n’en sommes qu’au début ! La ferme affiche aujourd’hui un budget de 500 000&nbsp;euros, quand le budget médian des CCR se monte plutôt à 1,5&nbsp;million&nbsp;d’euros. Auparavant, une grande part de nos recettes provenait des locations d’espace et de l’accueil commercial d’équipes artistiques. Avec le label, on assiste à un renversement de notre modèle économique, avec un fléchage des financements vers plus d’accompagnements des résidents et artistes. Nous sommes aussi en train de recruter un·e nouveau·elle chargé·e de communication et d’action culturelle.</p>



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Le Pass culture : une application culturelle pour permettre à tous les jeunes de 18 ans de construire leur parcours culturel

UPCP Métive – un trio à la direction

S’insérer dans le monde professionnel en temps de COVID-19

Villefavard labellisée !